Nutrition, sport, santé, ... et gourmandise
Le concept de "gourmandise, nutrition et santé" initié de manière assez disruptive et inédite par l’Espérantine, dès 1999, avec sa création de chocolat à l’huile d’olive, se trouve aujourd’hui bien relayé par diététiciens ou psychologues.
En effet, les résultats de recherches scientifiques récentes montrent les effets néfastes des discours diabolisant certains aliments et plaident en faveur de la gourmandise.
L’Inscription du "Régime Méditerranéen" au Patrimoine Immatériel de l’Humanité par l’Unesco en 2010, avec lequel l’Espérantine avait déjà créé par anticipation une passerelle ludique et gourmande, reconnait d’ailleurs la valeur sociale du plaisir gustatif intrinsèquement lié à notre modèle alimentaire. La bonne gourmandise peut maintenant s’appuyer sur la notion anoblie de patrimoine.
Ainsi, la réputation de l’Espérantine est maintenant bien établie avec près de 2000 salons, foires ou congrès à notre actif partout en France et près de 11 millions de dégustations assurées auprès d’un public de gourmets curieux : un choix d’ingrédients de première qualité, bruts et traités de manière artisanale.
Car les ingrédients phares de nos productions, à savoir l’huile d’olive, les fruits secs, le miel et le cacao pure origine, font partie de la "Haute Gastronomie" et nous autorisent par conséquent à communiquer sans état d’âme sur la nutrition et la santé.
De plus, nos mises en scène exclusives en forme de feuille d’olivier ou de rameau d’olivier participent du bon usage de la gourmandise.
La gourmandise vécue à sa juste mesure, c’est à dire l’art de savourer textures et saveurs avec tempérance, délicatesse et surtout convivialité, car nos coffrets incitent au partage.
"Il n’y a pas de raison d’interdire la gourmandise, note la nutritionniste Pascale Modaï. Le plaisir participe à la fonction hédonique de l’alimentation qui est aussi important que sa fonction biologique." D’autant que les interdits donnent envie, que les régimes amplifient les troubles alimentaires et qu’aucun lien n’a été établi entre la gourmandise et le surpoids.
Au contraire, elle semble pouvoir l’en préserver. Pour le docteur Gérard Apfeldorfer, psychiatre et spécialiste du comportement alimentaire, "l’importance de ces mécanismes est mésestimée, et la dégustation gourmande devrait être encouragée car elle contribue au contrôle alimentaire". Selon lui, ce n’est pas la gourmandise qui mène au surpoids ou à l’obésité mais le fait de manger vite, trop, sans contrôler émotivité et stress.
En 2017, Marseille sera la "Capitale Européenne du Sport", après avoir été celle de la Culture en 2013.
L’Espérantine s’était déjà mobilisée en faveur de ce dernier événement, car sa conception même relevait de l’histoire et de la culture de la "Civilisation de l’Olivier" qui est l’essence même de sa politique de communication.
Nous n’aurons par conséquent aucune difficulté à évoluer vers un nouveau concept, parfaitement inédit, de "nutrition, sport, santé …et gourmandise".
Nous l’avons dit, toutes nos productions sont déjà assurées à partir d’ingrédients dont les qualités organoleptiques sont parfaitement établies. Nous allons donc sacrifier à l’évènement en créant une gamme plus spécifique : "La barre Héracles" (difficile de faire plus sportif que les 12 travaux d’Hercule…) , qui se verra enrichie d’ingrédients ou nutriments disposant de la certification " allégation santé médicalement certifiée".
Nous irons même jusqu’à nous engager personnellement, pour joindre "le geste à la parole" : le signataire de ces lignes n’hésitera pas à s ‘élancer sur un vélo de piste dans un anneau de vitesse, tandis que notre Directrice Générale ira courir le marathon de New York ou que l’un de nos collaborateurs, compétiteur assidu de la mythique course du Mont Blanc, participera à l’une des plus difficiles épreuves de trail de l’année.
Autant d’occasions et d’initiatives, nous l’espérons, pour donner encore plus de légitimité à notre engagement en faveur d’une gourmandise, source de plaisir et d’estime de soi dans le cadre d’une alimentation équilibrée.
Francesco Martorana
Février 2017